lundi 10 septembre 2012

La prise en charge du stress oxydant en pratique courante, mystification ou réalité ?

"Il est désormais acquis qu'une alimentation saine, équilibrée et particulièrement riche en fruit et légumes prévient le risque cardiovasculaire, les maladies neurodégénératives et, plus globalement, le vieillissement. Il est tout aussi prouvé que 60 à 80% des maladies chroniques pourraient être évitées par des mesures hygiéno-diététiques et comportementales simples. Le stress oxydant résultant de la production excessive de radicaux oxygénés en regard de défenses antioxydantes dépassées est pointée du doigt pour expliquer ces constats. Le médecin est ainsi amené à évaluer l'état de stress oxydant de ses patients pour le corriger si nécessaire. Pas si simple ..."

Si vous êtes un professionnel de santé et que vous souhaitez lire l'intégralité de l'article du docteur Michel Brack, INSERM UPMC 939 à l'Hôpital de la Pitié, veuillez vous rendre sur le site de la revue en cliquant sur ce lien

1 commentaire:

  1. Soixante à 80% des maladies chroniques? Et pourquoi pas 98 à 99% tant qu'on y est?
    En réalité autant les bilans de stress oxydant que les vitamines et antioxydants de tous poils n'ont prouvé la moindre efficacité contre les cancers, les maladies cardiovasculaires, et tous les grands problèmes de santé publique actuels. Non seulement n'ont pas été efficaces, mais dans certains cas ils se sont révélés nuisibles.
    Par contre ces bilans sont très lucratifs pour certaines poches, d'autant qu'ils sont volontairement mis hors du circuit de l'assurance maladie alors que certaines analyses pourraient être remboursées. Ils le sont d'autant plus, également, qu'il y a très peu de concurence pour une médecine aussi dénuée de fondement et aussi inefficace, quand il ne s'agit pas purement et simplement d'arnaques financières juteuses au détriment de certains CHU.

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