"Plutôt que de toxicité cardiovasculaire, les spécialistes préfèrent parler de l’impact cardiovasculaire des antidiabétiques. Car à ce jour, aucune alerte concernant l’augmentation de ce risque avec les inhibiteurs des DPP-4 ou les agonistes des récepteurs aux GLP-1 ne ressort des données cliniques ou pré-cliniques. De façon globale, les incrétines s’avèrent même plutôt protectrices sur le plan cardiovasculaire. Les études d’événement sont très attendues, pas avant deux à quatre ans, car les méta-analyses disponibles souffrent de nombreuses limites qui incitent à la prudence."
Si vous êtes un professionnel de santé et que vous souhaitez lire l'intégralité de l'article d'Hélène Bertoldo, journaliste scientifique, veuillez vous rendre sur le site de la revue en cliquant sur ce lien
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