" Plusieurs études ont associé la concentration basse de vitamine D et le risque cardiovasculaire et, fait important, l'obésité et la sédentarité, deux facteurs de risque cardiovasculaire, sont associés à des taux abaissés de vitamine D. On peut dire dans l'état actuel des connaissances qu'amener son patient vers le statut considéré comme optimum de vitamine D doit être pris en compte, au même titre que les autres facteurs car la vitamine D est un facteur de risque en elle-même et qu'elle améliore de manière significative les chiffres de la pression artérielle chez les patients hypertendus, la fonction cardiaque et la dysfonction endothéliale. De plus, une carence en vitamine D majore de 50 % le risque de développer un diabète de type 2. À suivre de très près. "
Si vous êtes un professionnel de santé et que vous souhaitez lire l'intégralité de l'article du docteur Paule Nathan, nutritionniste endocrinologue à Paris, veuillez vous rendre sur le site de la revue en cliquant sur ce lien
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